Plop les bovins !!!
Bon c’est un peu le billet qui ne casse pas trois pattes à un canard mais qui peut s’avérer « presque » utile pour ceux qui ne connaissent pas encore cette petite astuce.
[Mode my life ON]
Puis je vais être franc avec vous je n’ai pas eu le temps de profiter de la fin de soirée comme à mon habitude, pour avancer dans le préparation de mes billets (une visite sympa et deux trois soucis urgents à régler m’ont bouffé la soirée).
Donc on fait avec ce qu’on a, et à l’heure ou j’écris ces quelques lignes (02h56), je suis loin d’être sûr d’avoir grand chose à vous mettre sous le pis pour demain. On ne va donc pas faire les difficiles.
[Mode my life OFF]
Cela dit pour ceux qui ne connaissent pas le DMI (Desktop Management Interface Desktop Management), il s’agit d’une fonction du BIOS qui fournit une description standardisée du matériel d’un ordinateur.
Cela concerne entre autres le numéro de série du BIOS et les connecteurs matériels.
Certains ne le savent peut être pas mais sous GNU/Linux il est possible de prendre connaissance des ces informations, grâce à un petit outil en ligne de commande nommé dimdecode.
Vous pouvez ainsi obtenir des informations détaillées sur votre système concernant par exemple, le CPU, la Ram, les divers slots d’extension (AGP, PCI, ISA), les slots de mémoire vive, la liste des ports I / O (ports série, parallèle, USB), les infos fabricants de certains composants, les fréquences (Ram, CPU) et une foule d’autres informations qui peuvent s’avérer utile.
Il y a bien entendu une foule de softs disposant d’une interface graphique qui peuvent nous permettre de retrouver facilement ce genre d’infos. Mais pour m’être retrouvé plus d’une fois sur un shell de secours après avoir planté ma session graphique, je sais par expérience que des outils comme dimdecode ne sont pas à négliger dans ces cas là.
La bête est disponible nativement sur pas mal de distributions GNU/linux, vous n’aurez donc la plus part du temps pas à l’installer. Si ce n’est pas le cas vous le trouverez facilement dans les référentiels de vos distros.
Côté utilisation rien de bien compliqué, de simples commandes comme celles décrites ci-dessous par exemple, vous afficheront une foule d’informations sur la RAM, fréquence, nombre de slots, taille maximum etc etc …
sudo dmidecode -t 16
ou sudo dmidecode -t memory
Il y en a bien entendu beaucoup d’autres que vous pourrez dénicher à l’aide de l’option –help ou d’un petit man.
Si vous voulez en savoir un peu plus vous pouvez consulter les billets sympathiques de lffl.org et de webupd8. Vous pouvez également consulter cette page de la doc Ubuntu qui en parle un peu et qui contient pas mal de références sur d’autres outils similaires ou complémentaires.
Dimdecode est le genre de petit outil de diagnostic qu’il faut toujours avoir sous la main, car si la plus part de temps cela ne sert à rien, quand on en a besoin on est en général bien content de les avoir sous la patte.
Amusez-vous bien.
Moo !!!
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